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Post-doctorant (H/F) en paleoclimatologie (M/F) | |
Published | |
Workplace | Grenoble, Rhône-Alpes, France |
Category | |
Position | |
Centre National de la Recherche Scientifique Cette offre est disponible dans les langues suivantes :
Date Limite Candidature : vendredi 7 avril 2023 Informations généralesIntitulé de l’offre : Post-doctorant (H/F) en paleoclimatologieRéférence : UMR5001-ELSGEN-005 Nombre de Postes : 1 Lieu de travail : ST MARTIN D HERES Date de publication : vendredi 17 mars 2023 Type de contrat : CDD Scientifique Durée du contrat : 24 mois Date d’embauche prévue : 1 septembre 2023 Quotité de travail : Temps complet Rémunération : Entre 2805.35¤ et 3963.98¤ bruts selon expérience Niveau d’études souhaité : Doctorat Expérience souhaitée : 1 à 4 années Section(s) CN : Système Terre : enveloppes superficielles MissionsL’objectif est d’étudier la diversité des périodes chaudes (interglaciaires) au cours des derniers 500 mille ans (ka) en utilisant une approche combinée données-modèles. La personne sélectionnée contribuera aux travaux entrepris dans le cadre du projet MOPGA HOTCLIM (2020-2026).ActivitésLes périodes interglaciaires représentent des expériences naturelles permettant de comprendre la sensibilité du système climatique au forçage orbital externe, aux variations de concentrations atmosphériques de gaz à effet de serre et de volume des glaces. Les interglaciaires des derniers 450 ka sont pertinents dans le contexte du changement climatique futur car ils sont caractérisés par un réchauffement en Antarctique comparable à celui simulé pour 2100.Les paramètres de forçage ont beaucoup varié d’un interglaciaire à l’autre, ce qui a eu des effets sur les changements climatiques enregistrés dans les archives naturelles. En effet, ces dernières révèlent une grande diversité d’interglaciaires en termes d’intensité, de forme et de durée. L’existence d’interglaciaires aux caractéristiques si différentes reste encore mal comprise. Malgré les progrès réalisés au cours des dernières décennies dans la production d’enregistrements paléoclimatiques continus et le développement de modèles climatiques pour tester les mécanismes possibles, le lien entre les propriétés interglaciaires, le forçage orbital, le CO2 atmosphérique et les rétroactions qui en résultent reste inexpliqué. Deux des principales limites sont les suivantes :
CompétencesLa sélection sera basée sur les critères scientifiques et techniques suivants :
Contexte de travailL’Institut des Géosciences de l’Environnement (IGE) est un laboratoire public de recherche sous les tutelles du CNRS, l’IRD, l’Université Grenoble Alpes (UGA) et Grenoble-INP qui travaille sur les changements climatiques et l’anthropisation de notre planète dans les régions polaires, de montagne et la zone intertropicale, régions particulièrement sensibles et aux enjeux sociétaux majeurs.L’effectif moyen du laboratoire est d’environ 330 personnes, dont 190 membres permanents (chercheurs, enseignants-chercheurs, ingénieurs, techniciens et personnels administratifs) et environ 140 doctorants, post-doctorants et personnels en contrat à durée déterminée. Chaque année, le laboratoire accueille environ 120 stagiaires et visiteurs scientifiques. L’IGE est installé dans quatre bâtiments du campus universitaire de Grenoble (bâtiment de glaciologie, OSUG-B, Maison Climat Planète et INRAE-Grenoble Saint Martin d’Hères). La personne recrutée effectuera sa mission au sein de l’équipe ICE3 de l’IGE et sera placé sous la responsabilité d’Émilie Capron. Il y aura aussi des interactions fortes avec Nathaëlle Bouttes, modélisatrice du climat au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement. Contraintes et risquesLa recherche se fera indifféremment en français ou anglais, néanmoins il est attendu que le candidat non-francophone s’efforce d’apprendre les bases du français afin de faciliter la communication et son intégration dans le laboratoire. | |
In your application, please refer to myScience.fr and reference JobID 37652. |
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