L’absence de la molécule CD226 est un frein qui empêche les lymphocytes tueurs de fonctionner normalement, et est associée à un mauvais pronostic dans diverses pathologies malignes telles que les mélanomes, les cancers du sein, du poumon ou du foie. Radiographie du cancer du poumon
L'absence de la molécule CD226 est un frein qui empêche les lymphocytes tueurs de fonctionner normalement, et est associée à un mauvais pronostic dans diverses pathologies malignes telles que les mélanomes, les cancers du sein, du poumon ou du foie. Radiographie du cancer du poumon ©Inserm/U335 - Une équipe internationale , dirigée par le Dr Ludovic Martinet (chercheur Inserm) et le Pr Hervé Avet-Loiseau du Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT / Inserm, Université Toulouse III - Paul Sabatier, CNRS), vient de publier dans la revue Immunity une étude qui ouvre des perspectives pour améliorer l'efficacité de l'immunothérapie. L'absence d'une molécule chez certains patients atteints de cancer, le CD226, serait l'une des clés de compréhension de la résistance à l'immunothérapie. Immunothérapie et résistance thérapeutique Même si la plupart des cancers sont difficilement guérissables lorsqu'ils sont diagnostiqués à un stade avancé, une nouvelle stratégie thérapeutique semble pouvoir inverser la tendance ces dernières années : l'immunothérapie. Au lieu de s'attaquer directement aux cellules tumorales, cette approche vise à stimuler les « défenses » des patients, leur système immunitaire, afin de lutter contre les cellules tumorales. L'immunothérapie a pour but de "réveiller” le système immunitaire des malades pour qu'il élimine les cellules cancéreuses. Les lymphocytes tueurs représentent les acteurs du système immunitaire les plus prometteurs contre le cancer.
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