Publié le 25/10/2023 - Mis à jour le 25/10/2023 Lecture 2 min.
Deux sessions thématiques étaient proposées sur la dimension sociale de l’intégrité scientifique et sur une science ouverte responsable.
Les 14 conférences des 5 sessions plénières sont en ligne sur le site du congrès.À voir en particulier :
- Stéphanie Ruphy, directrice de l’Ofis, sur l’intégrité scientifique et l’engagement des chercheurs (Session A),
- Anne-Catherine Fritzinger, DGSA Diffusion des savoirs - Bibliothèques, archives, culture, patrimoine et édition académique, Sorbonne Université, sur le lien entre science ouverte et intégrité scientifique à Sorbonne Université (Session C),
- Marin Dacos, conseiller science ouverte au MESR, sur les dangers du maintien en ligne d’articles rétractés ou de références à des articles rétractés (Session C),
- Cyrus Mody (Maastricht) et Lissa Roberts (Twente), historiens des sciences, qui, à partir d’exemples, parlent en faveur d’une approche élargie de l’intégrité scientifique prenant en compte les dimensions parfois problématiques d’ordre éthique, social, politique ou environnemental (Session A),
- C. K. Gunsalus (Illinois Urbana Champaign, National Center for Principled Leadership & Research Ethics) sur Environnements de recherche, intégrité scientifique et confiance publique (Session D),
- Carthage Smith (OCDE) sur Intégrité scientifique et sécurité dans l’écosystème global de la recherche (Session E).
À noter :
Parmi les posters présentés : 10 façons simples de tricher en recherche, Ten simple rules for scientific fraud and misconduct, Ghislaine Filliatreau (Inserm - LORIER), conçu à partir d’un préprint de Nicolas Rougier et son collègue John Timmer, fondé sur l’analyse de cas réels de tricherie. (Voir ci-dessous)