Des mesures qui payent pour lutter contre la pollution atmosphérique

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Épisode de pollution aux particules fines (« smog ») à Grenoble, en 2016. © Rémy
Épisode de pollution aux particules fines (« smog ») à Grenoble, en 2016. © Rémy Slam
Épisode de pollution aux particules fines (« smog ») à Grenoble, en 2016. Rémy Slam La pollution aux particules fines, qui touche une majorité de la population mondiale, est responsable de maladies respiratoires et cardiovasculaires, de décès prématurés, associés à un coût pour la société. En s'appuyant sur le cas de Grenoble, une équipe de recherche pluridisciplinaire a construit différents scénarios permettant de diminuer de deux tiers la mortalité attribuable aux particules fines à l'échelle de l'agglomération, et a démontré que les bénéfices obtenus dépassent les coûts des mesures à mettre en place. Diminuer de deux tiers la mortalité attribuable aux particules fines à l'échelle d'une agglomération peut se faire pour un coût bien inférieur aux bénéfices sociétaux et économiques. C'est ce que vient de démontrer une équipe pluridisciplinaire du CNRS, de l'Inserm, d'INRAE, de l'Université Grenoble Alpes (UGA) et d'Atmo Auvergne-Rhône-Alpes. L'étude identifie des politiques publiques concrètes pour atteindre un objectif sanitaire fixé par les élus, ainsi que les co-bénéfices attendus. Ces résultats sont publiés par Environment International le 15 janvier 2022.
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